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Un couteau de survie n’est pas une baguette qui dispose des pouvoirs de sauvegarde magiques inhérents. Effectivement, sa vraie valeur réside dans l’habileté de celui qui l’utilise. D’ailleurs, la compétence ne vient que de la pratique et de la répétition. Cependant, cela ne veut pas dire que vous devez réaliser votre achat de couteau de survie n’importe comment. Pour ce faire, il existe certains facteurs à considérer. Souhaitez-vous en savoir plus sur le sujet ? Si tel est le cas, vous vous trouvez justement au bon endroit. Assurément, cet article vous permettra de faire le point sur les 3 principaux critères à prendre en compte lorsque vous achetez un couteau de survie.

La taille de votre couteau

La taille est l’un des principaux critères à prendre en compte. Mais, même s’il s’agit de votre couteau de survie, plus gros n’est pas toujours mieux. En effet, avec une lame est trop grosse, vous sacrifiez la capacité de l’utiliser efficacement pour des tâches détaillées telles que le dressage du petit gibier ou la sculpture des caisses claires de précision. Néanmoins, une petite lame ne fonctionne pas bien avec des tâches plus difficiles telles que bâtonné et haché.

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 Le bâton, c’est lorsque vous frappez le dos de la lame de votre couteau avec un objet lourd pour enfoncer le couteau à travers du bois épais ou tenace. Cela permet d’utiliser la lame pour fendre du bois et couper des branches et des arbres de grande taille. Selon plusieurs experts, la taille idéale de couteau de survie était d’environ 9 à 11 pouces de longueur. Pour trouver le modèle adéquat, n’hésitez surtout pas à voir ce site.

La caractéristique de la lame et le manche

Le plus souvent, on tend toujours à opter pour un couteau de lame fixe. Cependant, en plus de ce facteur, il est important à ce que votre accessoire soit également FULL TANG. À titre informatif, ce terme indique que la lame et le manche sont construits à partir d’une seule pièce de métal continu. 

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Des balances ou des poignées sont généralement fixées à la partie poignée pour une prise plus confortable. Lors de votre choix, n’oubliez pas le fait qu’un couteau à soie pleine est bien plus robuste que les styles à soie partielle. Cela peut s’agir de la soie demi-soie, la soie à pousser ou la soie à queue de rat.

 En effet, le profil d’une lame pleine soie est beaucoup plus imposant que celui de son amie queue de rat. Et, au fil du temps, les lames de couteaux à soie partielle peuvent se desserrer et développer un jeu dans le manche. Plus particulièrement, lors de tâches exigeantes telles que bâtonnées, faire levier et hacher. 

La pointe doit être pointue

Bien qu’il existe des couteaux de survie avec des pointes plates, inclinées, arrondies, crochues ou droites, celui avec une pointe pointue est à privilégier. Assurément, il existe de nombreuses raisons impérieuses pour lesquelles votre couteau de survie devrait avoir une pointe pointue. Ces derniers peuvent être les suivants :

  • Garantir votre légitime défense (contre l’homme ou la bête) : en effet, tout ce qui n’est pas une pointe de lance pointue compromet votre capacité à pousser ou à poignarder efficacement votre couteau comme une arme. Et ce, plus particulièrement à travers une fourrure/peau épaisse ou des vêtements superposés.
  • Assurer son rôle d’arme de chasse : soit seul, soit attaché à un poteau pour créer une lance à plus longue portée, un couteau de survie avec une pointe pointue est impératif pour enlever les écailles. Par la même occasion, elle permet également d’attacher la lame pleine, soit presque sans problème sur un bâton comme pointe de lance.

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